top of page

métro d'Alger

AMItrU N tzIrI

Métro d'Alger

premier plan du métro d'alger en tifinagh

Métro d'Alger en Tifinagh

le premier plan du métro d'alger en tifinagh, fait entrée la langue tamazight dans une moderniter assuré du 21 ème siècle.

les différents logos

Métro d'Alger
RATP El-Djazaïr

ici les logos du métro d'alger ainsi que celui de l'exploitant "ratp el-djazaïr".

un bien vieux projet...

Journal du 12 février 1932 titrant « Le Métro à Alger ».

-1930-

Le président du conseil général du département d'Alger propose le 3 novembre 1930 de construire un nouveau réseau de transport en commun de la région algéroise, lequel comprendrait un métropolitain souterrain comme à Paris. Une étude sur la réorganisation des transports publics algérois est confiée à l'Omnium Lyonnais. Les conclusions de l'étude détaillée publiées en avril 1929 préconisent la construction d'une ligne de métro. La ville d'Alger et plusieurs communes limitrophes se constituent en syndicat intercommunal pour la réalisation du métropolitain.

 

Le projet prévoit la construction d'une ligne partant du cimetière Saint-Eugène, dans l'actuelle commune de Bologhine, et aboutissant à Maison-Carrée dans l'actuelle commune de El-Harrach, en passant en souterrain jusqu'au quartier du Ruisseau situé aujourd'hui à Belouizdad. Une autre branche devait débuter au niveau de la Gare de l'Agha pour aboutir au Parc de Galland (actuel parc de la Liberté).

Mais des raisons de budget, les communes de Saint-Eugène et Hussein-Dey se retirent, ne restant qu'Alger, El Biar et Kouba en 1932. Des sondages sont réalisés au niveau des futures stations, mais le projet est peu à peu délaissé jusqu'à être ajourné par délibération du conseil municipal le 26 juillet 1935 à cause de l'importance de la dépense qui était estimée à 80 millions de francs.

-1959-

Après plusieurs projets de mise en souterrain partiel du réseau de tramways de la ville qui n'aboutirent pas, une nouvelle étude de la Régie autonome des transports parisiens (RATP), remise en 19597, préconise à nouveau la création d'une ligne du même type que le métro sur pneus exploité à Paris.

-1962-1980-

 L'indépendance de l'Algérie, de nouveaux plans d'urbanismes sont proposés. En 1980, la SOFRETU réalise pour la RSTA une première «étude de réactualisation du projet de métro d'Alger»

-1990-

Les premiers coups de pioche auront lieu en octobre 1990 au niveau de la place de l'Emir Abd el-Kader à Alger-Centre. Au niveau de la station Aïssat Idir, les travaux ne débutent qu'en mars 1993, pour la station Hamma ce sera mars 1994.

En 1994, un premier tronçon qui va de la place de l'Emir-Abdelkader à la Grande Poste d'Alger, long de 450 m, est achevé. Un autre tronçon de 650 m, qui relie la station Tafourah - Grande-Poste à la station Khelifa Boukhalfa, est lui aussi achevé. En 1996 la jonction est faite entre le tunnel de Khelifa Boukhalfa et celui de la station 1er mai.

À la fin des années 1990, 3,5 km de tunnel, cinq stations entre la Grande Poste et Hamma ainsi que les ateliers ont été réalisés.

-2007-

En août 2007, RATP Dev remporte le contrat d'exploitation et de maintenance du métro pour une durée de huit ans pour un montant de 130 millions d'euros. Le contrat est signé le 4 décembre 2007.

RATP El-Djazaïr

-2009-

RATP El-Djazaïr

La filiale RATP El Djazaïr est créée en 2009. Le 6 avril de la même année, les premiers essais techniques ont eu lieu entre les stations Haï El Badr et les Fusillés en présence de quatre ministres

-1er novembre 2011-

1er Novembre 2011, c'est l'inauguration de la ligne 1 ! Le tronçon Tafourah (Grande poste) - Haï El Badr de la première ligne du métro d'Alger, d’une longueur de 9,5 km et comportant dix stations, est inauguré le 31 octobre 2011 par le président Abdelaziz Bouteflika. Ce premier tronçon entre en exploitation commerciale le mardi 1er novembre 2011.

Le coût de la première phase de la ligne 1 s'élèverait à 77 milliards de DA, dont 30 milliards pour le génie civil et 47 milliards pour l’équipement, soit près de 900 millions d'euros. Le coût final des travaux de la première ligne est estimé à 100 milliards de dinars.

bottom of page